Mounir Choueiri a fait un peu tous les métiers. Aujourd’hui, il tient un snack dans le quartier d’Achrafiyé, en face de l’hôpital l’Hôtel dieu. Il répond aux questions de Sayefali et Alexandre, des globe-reporters du collège Georges Rouault, à Paris.
A une époque, Mounir a même ouvert une galerie d’art. Aujourd’hui, l’espace qui a servi de galerie fait office d’entrepôt. Les œuvres d’art ont été remplacées par des bibelots qui prennent la poussière. Un espace qui résume un peu l’histoire du pays au cours de la seconde moitié du XXe siècle.
Mais tout cela ne coupe pas l’appétit des Libanais et les Libanaises.
Mounir devant son snack. Il vend aussi les journaux.
Mounir aime se balader dans les montagnes du Liban. Ici, dans le tronc d’un vieux cèdre.
La boutique de Mounir cache un large espace au sous-sol. Avant la guerre, Mounir avait ouvert une galerie d’art.
Pour le prouver, Mounir sort un album de photos.
La galerie du temps de l’âge d’or. Pour Mounir, c’était la belle vie.